Le 9 décembre 1840, il faisait nuit et il faisait un froid glacial lorsque le transbordement des restes mortels de l’empereur Napoléon 1er entre la Normandie et la Dorade n ° 3, un modèle de bateau récupéré comme ce bateau catafalque jusqu’à Courbevoie. Val-de-la-Haye, paisible village des bords de Seine, a été choisi dans l’urgence pour cette cérémonie discrète parce que les autorités étaient à Rouen même, elle provoquait des émeutes. Cet événement aurait été vite oublié si le maire du Val-de-la-Haye l’avait décidé dès le 10 décembre, date du passage à Rouen, avec une mort imaginaire, un monument en souvenir de cet événement marquant. Lefebvre-Flacardoux ne ménagea pas sa peine pour après, après les péripéties, à l’érection d’une colonne surmontée d’un aigle et à son inauguration le 15 août 1846. pour le retour de l’Empereur de Sainte-Hélène, On a travaillé sur les archives inédites de cette aventure, de l’illustration de documents rares, des auteurs à offrir au public, d’un récit d’événement par lequel un petit village croise le chemin de la grande histoire. Préface de David Chanteranne (Historien et journaliste, Conservateur du Musée Napoléon de Brienne le Château. Rédacteur en chef de la revue Napoléon 1er du Souvenir…
Le prochain livre de Daniel NOREUX La défense passive, Rouen et son agglomération – 1939-1945 Les communes concernées: Grand-Couronne / Petit-Couronne / Grand-Quevilly / Petit-Quevilly / Rouen / Sotteville-lès-Rouen / Saint-Étienne-du-Rouvray / Oissel / Elbeuf / Orival. La Seconde Guerre Mondiale en Normandie et dans la vallée de la Seine est à l’origine de la destruction des habitations, des monuments installés depuis plusieurs siècles, des usines, de la zone portuaire. Elle a semé la terreur et la mort parmi ses habitants qui n’ont rien demandé. Les villes de Rouen, Sotteville-lès-Rouen et Orival ont été les plus touchées, atteignant jusqu’à 85% de sinistrés. Un enfer de feu, de cruauté et de violence, s’est abattu sur des ouvriers innocents dont l’espoir était une paix rapide et proche. Avant cette guerre, une organisation s’installe pour combattre les bombardements en protégeant les populations civiles. Cette organisation ira encore plus loin, en aidant les habitants, en leur souhait, en distribuant des vêtements, des couvertures, en organisant l’évacuation des enfants voire des adultes. Ces aides n’auraient pas été à propos de la présence et de l’efficacité de la Croix-Rouge, des pompiers, des religieuses, des prêtres, des bénévoles venus dans les moments difficiles. Ces personnels de défense…
On connait la vie et l’œuvre de Gustave Flaubert. Sa correspondance , les brouillons et les scénarios que sa nièce avait conservés et que les études d’une meilleure connaissance, la documentation qu’il avait accumulée pour rédiger Bouvard et Pécuchet , tous ces documents ont permis de dessiner un portrait assez précis mais subjectif de l’écrivain. Il a toujours voulu n’être qu’un «homme-plume», un artiste qui a organisé toute sa vie à la littérature. Mais n’était-il pas également un bourgeois malgré lui? Était-il vraiment riche? Commanville l’a-t-il ruiné? Jusqu’à présent, les réponses apportées à ces questions ne sont pas toujours pertinentes car elles ne prennent pas en compte les documents d’archives qui permettent de lever le voile sur ces interrogations. Ce répertoire fait appel à une masse documentaire insoupçonnée. Gustave Flaubert a signé un nombre considérable de procurations … Son nom figure dans les actes de notaires, dans les documents de l’enregistrement ou dans les procès-verbaux d’audiences des tribunaux. Il a été un fils de famille et, le veuille ou non, il a hérité, de la politique patrimoniale et fiscale du clan Flaubert.Ainsi, paradoxalement, l’indivision née de la succession de son père Achille Cléophas l’a fait paraître très riche alors qu’il…
Conception et réalisation de flyers pour les dédicaces de livres d’un auteur régional. Format A5 quadri recto sur papier 90 Grammes.
Le 11 novembre ne pouvait être que la date idéale pour sortir un livre sur le premier conflit mondial. C’est ainsi que Jean-Luc Dourville a dédicacé son livre “Les poilus eslettois de la Grande Guerre” devant un public nombreux et ravi de ce premier ouvrage sur la commune d’Eslettes.